La richesse exceptionnelle du cerveau en acides gras oméga-3 implique qu’ils jouent un rôle très important dans son fonctionnement. De fait, ils interviennent en cas de carence dans certaines maladies psychiatriques, ainsi que dans le déclin cognitif associé au vieillissement.
Le déficit en acides gras oméga-3 (ALA, EPA, DHA) qui touche la majorité de la population française devient préoccupante. L’alimentation ultra-transformée actuelle fournit une quantité quotidienne d’oméga-3 insuffisante au détriment des oméga-6. Ce déficit entraîne ainsi des modifications dans la composition des membranes neuronales en induisant une phase de pré-dégénérescence.
Les faibles quantités en oméga-3 dans notre alimentation quotidienne ont pour conséquence une carence en DHA (acide docosahexaénoïque) dans l’organisme, notamment au niveau circulatoire et cérébral. Cette carence est corrélée à la perte de la mémoire, à la dépression, aux troubles de l’attention, à la mauvaise humeur et aux difficultés d’apprentissage.
Les concentrations les plus élevées en DHA se trouvent dans le cerveau et la rétine. Il est apporté par l’alimentation mais également par transformation enzymatique à partir de l’ALA, puis de l’EPA. Sous les effets de l’âge, ce processus de transformation devient progressivement inefficace. D’où la nécessité d’une supplémentation en DHA pour combler cette carence quand on vieillit.
Pour l’adolescent en pleine croissance c’est plus problématique. Une alimentation déséquilibrée entraîne une carence en DHA qui peut se traduire par un échec scolaire et des difficultés d’adaptation au rythme scolaire, un état anxieux, une impossibilité à éliminer le stress, voire de la dépression.
Les avantages du DHA
Les différentes sources de DHA
L’ALA (acide alpha-linolénique) se trouve en quantité dans les huiles de colza et de noix, ainsi que dans les oeufs « oméga-3 ». C’est le précurseur de l’EPA, dénommé acide timnodonique car découvert dans le thon, lui-même précurseur du DHA (acide cervonique).
Surtout présent dans tous les poissons à chaire grasse (saumons, maquereaux, sardines, harengs, …) et les fruits de mer, les teneurs en DHA sont cependant aléatoires (origine halieutique ou élevage). De plus il y a des risques de contamination liés à la pollution (métaux lourds ou hydrocarbures).
Rappelez-vous, nos aïeux avaient l’habitude de consommer et de donner de l’huile de foie de morue aux enfants. Toutefois son odeur et son goût particuliers ne conviennent pas à tous les consommateurs.
En remontant la chaîne alimentaire, le krill est également une source de DHA d’origine animale. Cependant cette petite crevette, présente en grande quantité dans les eaux froides (océan Antarctique), est la base de l’alimentation des petits poissons.
Donc pourquoi en faire de l’huile de krill me direz-vous ? Parce qu’elle contient également de l’astaxanthine. Un anti-oxydant superpuissant. Cependant, d’un point de vue écologique et alimentaire, laissons la petite crevette aux poissons et remontons encore la chaîne alimentaire pour découvrir l’origine de ce DHA.
La forme la plus pure, la plus naturelle, et celle qui préserve la biodiversité, provient des microalgues de type Schyzochitrium ou Aurantiochytrium. Désormais cultivées dans un environnement contrôlé et maîtrisé en bioréacteurs, ces microalgues fournissent aujourd’hui de bonne quantité de DHA d’origine végétale.
La solution ALGAWELL
D’origine européenne, AlgaWell propose une huile de Schyzochitrium de qualité supérieure sous forme de capsules molles : Ze CONFORT. En format 30 ou 60 capsules, le consommateur bénéficie de 250 mg de DHA par jour, soit 100% des Apports Journaliers Recommandés par l’EFSA.
Cette huile de microalgue, issue d’un processus de bio raffinage breveté, convient très bien aux personnes allergiques aux poissons et crustacés.